Chez les bactéries, la formation de biofilms nécessite une décision
commune à l’ensemble de la colonie et nombreux sont les
exemples de réorganisation, de coopération ou d’adaptation en
cas de stress nutritif, de déshydration à cause de la chaleur ou
d’attaque par un antibiotique.
Or les bactéries sont les premiers êtres-vivants à apparaître sur la
planète et elles n’ont ni mains ni cerveau. L’intelligence n’est pas l’apanage des humains et n’est certainement pas liée à une morphologie ou psysiologie particulière.
Il est fort probable que les capactiés du cerveau humain sont sous-estimées et encore largement inconnues, mais il n’en demeure pas moins que l’intelligence n’a pas attendu l’arrivée des humains pour se propager au cours du temps et de l’espace, apparaissant en divers endroits à diverses périodes.
L’idée de ce bestiaire est de mettre en valeur certains animaux grâce à des capacités qui leurs sont propre tout en cassant la hiérachisation qui insinue que l’intelligence appartient seulement à l’espèce humaine.
Les facteurs cognitifs principaux de l’espèce animale comprennent la conscience, la communication/perception, la résolution de problèmes, l'apprentissage et la mémoire. Chacun de ces facteurs peut varier en complexité et en développement chez différentes espèces animales.